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Validation des méthodes de calcul de clouage par les expérimentations du Projet national CLOUTERRE
Le dimensionnement recommandé par CLOUTERRE pour les murs de soutènement en sol cloué repose sur une analyse aux états-limites ultimes (ELU) avec coefficients partiels de sécurité. Parmi les méthodes de calcul utilisant des cercles ou des surfaces quelconques comme surfaces de rupture potentielle, les plus appropriées sont la méthode des tranches (Bishop simplifiée) ou la méthode des perturbations, étendues au cas des sols renforcés par inclusions pouvant travailler en traction simple (cas le plus simple) ou en traction, cisaillement, flexion. Dans ce dernier cas, il est recommandé d'utiliser la méthode du multicritère développée par SCHLOSSER (1982, 1983). La validation de ces méthodes de calcul ne peut être entreprise que par comparaison avec des résultats expérimentaux obtenus sur des structures en vraie grandeur à la rupture.
Dans cet article, trois exemples de rupture de murs en vraie grandeur, qui se sont rompus accidentellement ou ont été poussés à la rupture dans le cadre du Projet national CLOUTERRE, sont présentés et analysés en détail, pour chacun des trois principaux modes de rupture. Le mur expérimental CLOUTERRE-CEBTP N° 1 qui fut poussé à la rupture par saturation du remblai, se rompit par cassure des clous (rupture interne). Dans le mur des Eparris qui se rompit accidentellement en 1981, les clous avaient été sous-dimensionnés vis-à-vis du frottement latéral, conduisant ainsi à une rupture interne par arrachement. Une rupture mixte par défaut de longueur des clous fut provoquée dans l'expérimentation CLOUTERRE-CEBTP N° 3 grâce à des clous télescopiques.
Validation des méthodes de calcul de clouage par les expérimentations du Projet national CLOUTERRE
Le dimensionnement recommandé par CLOUTERRE pour les murs de soutènement en sol cloué repose sur une analyse aux états-limites ultimes (ELU) avec coefficients partiels de sécurité. Parmi les méthodes de calcul utilisant des cercles ou des surfaces quelconques comme surfaces de rupture potentielle, les plus appropriées sont la méthode des tranches (Bishop simplifiée) ou la méthode des perturbations, étendues au cas des sols renforcés par inclusions pouvant travailler en traction simple (cas le plus simple) ou en traction, cisaillement, flexion. Dans ce dernier cas, il est recommandé d'utiliser la méthode du multicritère développée par SCHLOSSER (1982, 1983). La validation de ces méthodes de calcul ne peut être entreprise que par comparaison avec des résultats expérimentaux obtenus sur des structures en vraie grandeur à la rupture.
Dans cet article, trois exemples de rupture de murs en vraie grandeur, qui se sont rompus accidentellement ou ont été poussés à la rupture dans le cadre du Projet national CLOUTERRE, sont présentés et analysés en détail, pour chacun des trois principaux modes de rupture. Le mur expérimental CLOUTERRE-CEBTP N° 1 qui fut poussé à la rupture par saturation du remblai, se rompit par cassure des clous (rupture interne). Dans le mur des Eparris qui se rompit accidentellement en 1981, les clous avaient été sous-dimensionnés vis-à-vis du frottement latéral, conduisant ainsi à une rupture interne par arrachement. Une rupture mixte par défaut de longueur des clous fut provoquée dans l'expérimentation CLOUTERRE-CEBTP N° 3 grâce à des clous télescopiques.
Validation des méthodes de calcul de clouage par les expérimentations du Projet national CLOUTERRE
Schlosser, F. (Autor:in) / Unterreiner, P. (Autor:in) / Plumelle, C. (Autor:in)
Revue Française de Géotechnique ; 11-20
01.01.1993
10 pages
Aufsatz (Zeitschrift)
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Französisch
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Calcul probabiliste des crues de projet : SPEED
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