Abstract In this paper, results of numerical simulations of a repaired concrete structure are presented. A repair layer of mortar was cast on top of a substrate of old concrete. The repair mortar was staturated with water, and allowed to dry at the top surface. The moisture distribution was determined using the finite element code DIANA. The moisture gradients lead to shrinkage cracking. Using the smeared crack model available in DIANA, and from the effect of decreasing the thickness of the overlay of repair mortar (from 60 to 15 mm), and by decreasing the bond strength between repair mortar and substrate from 3 to 1 MPa, it is shown that the number of hygral shrinkage cracks depends largely on the thickness of the repair layer. Moreover, in analyses with high interfacial strength, the cracks were found to propagate into the substrate. However, at lower bond strength, debonding was observed. The analyses show that hygral strains may cause severe damage in a repaired concrete system. Problems may decrease when the overlay thickness increases or when the bond between substrate and overlay is improved. In addition, applying reinforcement in the repair layer, either as discrete bars or as distributed fibres, may decrease the spacing and width of the shrinkage cracks, thereby reducing the probability of delamination. The numerical programme is shown to be a viable tool for damage analyses not only under mechanical load, but also under hygral gradients (and thermal gradients).

Résumé Dans cette contribution on présente les résultats de simulations numériques pour une structure en béton formée d'un vieux béton et d'une couche de mortier de réparation. Le mortier de réparation a été saturé d'eau; on en a laissé sécher la surface supérieure. La distribution hydrique a été déterminée au moyen du code DIANA à éléments finis. Les gradients hydriques résultent en une fissuration de retrait. Au moyen du modèle de la bande microfissurée de DIANA pour étudier les effets d'une diminution de l'épaisseur de la couche de mortier de réparation (de 60 à 15 mm), et d'une diminution de l'adhérence entre le mortier de réparation et le substrat de 3 à 1 MPa, il a été montré que le nombre de fissurations induites par le retrait de séchage dépend largement de l'épaisseur de la couche de matériaux de réparation. De plus, lors des analyses où il existait une forte résistance interfaciale, on a trouvé que les fissurations se propageaient dans le substrat. À de plus faibles adhérences, une décohésion a été observée. Les analyses montrent que les contraintes hydriques peuvent entraîner de graves endommagements dans un système en béton réparé. On peut les diminuer en augementant l'épaisseur de la couche de réparation ou en améliorant l'adhérence entre le substrat et le matériau de réparation. L'application de renforcement dans la couche de réparation, soit par des treillis d'armatures soit par des fibres, peut diminuer l'espacement et la largeur des fissurations de retrait, réduisant ainsi la probabilité de décohésion. On a montré que le programme numérique est un outil viable pour l'analyse des endommagements non seulement sous charge mécanique, mais également sous gradients hydriques et thermiques.