Cover cracking as a function of rebar corrosion: Part 2

Cover cracking as a function of rebar corrosion: Part 2—Numerical model

Molina, F. J. / Alonso, C. / Andrade, C.

Abstract A numerical model based on standard finite-element techniques is proposed for the simulation of cracking in concrete specimens when subjected to corrosion of their reinforcement. A smeared-crack approach is used to model the behaviour of the concrete finite elements, while the corrosion, which is understood as the applied load on the structure, is modelled by a combination of initial strains and change of elastic properties, which are respectively equivalent to the expansion and softening of the steel elements at the rebar surface when they rust. The model is applied to four examples, which were simultaneously tested experimentally and reported in Part 1 of this paper, and the influence of the main parameters of the model in the response is studied separately. In particular, the effect on the crack-width rate of the specific volume of the rust being formed is quantitatively assessed.

Resume On propose un modèle numérique basé sur des techniques normalisées d’éléments finis pour la simulation de la fracture d’échantillons de béton armé lorsque leurs armatures sont soumises à la corrosion. On utilise une technique de fissuration diffuse pour modéliser le comportement des éléments finis du béton, tandis que la corrosion, qui est considérée comme la charge appliquée sur la structure, est modélisée au moyen d’une combinaison de déformations initiales et d’une modification des propriétés élastiques. Celles-ci sont respectivement équivalentes à l’expansion et au ramollissement des éléments d’acier à la surface de l’armature lorsqu’ils s’oxydent. Le modèle est appliqué à quatre exemples qui ont été, en même temps, essayés de façon expérimentale (voir la première partie de cet article), et on étudie séparément l’influence des divers paramètres sur la réponse. En particulier, on évalue quantitativement l’effet du volume spécifique de la rouille qui s’est formée sur la vitesse d’ouverture des fissures.